Les nommés du Prix de la presse et de l'information territoriales 2023

La métropole de Lyon • MeT'

C’est le « renouveau démocratique » qui guide le projet éditorial de MeT’. Il s’articule autour du magazine papier et du site d’actualités met.grandlyon.com. Des passerelles sont créées avec le site institutionnel grandlyon.com et les réseaux sociaux. Le magazine se structure autour de quatre rubriques : « Je participe », « Voté au conseil », « Le sujet qui fâche » – qui traite en transparence d’un sujet épineux remonté des réseaux sociaux et de met.grandlyon.com – et « Près de chez vous ». Un effort est apporté à l’accessibilité pour « réaliser le premier magazine d’infos locales 100 % accessibles » : des choix sémantiques qui facilitent la lecture et la compréhension, des versions web & print travaillées avec des personnes en situation de handicap.

Quimperlé Communauté • Mag 16

Mag 16 répond à quatre objectifs éditoriaux : informer les habitants, créer du lien, expliquer les décisions des élus et stimuler la participation locale. Le magazine reflète ce territoire breton : l’agglorama séquencé et illustré, une pleine page en bilingue breton-français. Le magazine joue la complémentarité avec le web : les portraits « Face à face » sont accompagnés d’une vidéo publiée sur les réseaux sociaux. Tous les portraits sont accessibles en page d’accueil du site web. Un système de QR code renvoie sur les vidéos diffusées lors des conseils communautaires sur les réseaux sociaux. Les « Instantanés du territoire » reprennent les trois meilleures photographies publiées sur Instagram mentionnant #quimperlecommunaute. Le Mag 16 des 6-12 ans est une double page ludique de jeux, concours et infos courtes sur leur territoire.

La ville d'Annecy • Annecy mag

Support renouvelé d’une ville en transition, Annecy mag met en récit les évolutions en cours de manière pédagogique, argumentée et complice avec son lectorat : des citoyens consommateurs de services y compris de service public. Le rythme est soigné pour alterner styles, tailles, traitements éditoriaux, rubriques fixes ou mouvantes selon l’actualité : « L’info décalée » traite de manière originale un sujet sérieux ; les portraits sont soignés pour que chaque Annécien se reconnaisse dans son magazine ; le dossier fait l’objet d’une campagne à 360° sur l’ensemble des supports de communication de la ville. Annecy mag s’intègre dans un panel de supports plus ou moins spécialisés de la ville : site internet, réseaux sociaux, application, affichages, événements.

La ville de Douarnenez • DZ Mag

Dans une démarche de clarification de la ligne éditoriale et dans l’intérêt du lecteur, DZ Mag se structure en trois cahiers : « Demain c’est maintenant », consacré au développement durable, « Ma ville et moi » autour de l’offre institutionnelle et « Douarnenez se raconte » dédié à la culture, au tourisme et aux acteurs du territoire. Le projet vise à susciter la curiosité et la fidélisation du lecteur : le nom DZ en pleine page, désignant le quartier maritime et le port d’attache de Douarnenez ; le parti pris graphique fort de la une ; le format réduit (19 x 26 cm) maniable et dans l’esprit collection ; l’interactivité en allant chercher des sujets sur les réseaux sociaux et en les développant dans le magazine (pour/contre) ; plus de sujets portant sur les jeunes ou s’adressant aux jeunes.

La ville de Pont-de-Claix • Sur le pont

Maquetté, écrit et monté en interne, Sur le pont vise à renforcer la cohésion et la fierté locale, dans une ville issue de l’industrie, attractive mais encore mal perçue. La nouvelle version du journal reflète l’attachement des habitants pour leur ville, le dynamisme des projets municipaux et son important tissu associatif. Par son rubricage, elle met en avant deux piliers de l’action publique : les solidarités et la transition écologique. Enfin le magazine joue la complémentarité avec le site web et les réseaux sociaux afin de renforcer la proximité avec les lecteurs. Sur le pont se distingue par un format étroit. Une fois ouvert, il dévoile des photos de une et de dossier en double page. Les polices de titres jouent l’héritage industriel.

Le département de l'Indre • Le Mag 36

Le Mag 36, pensé par des Indriens pour des Indriens, c’est l’idée du journal. Il invite au voyage et à la découverte du département à travers ses communes, sa culture, ses événements, ses richesses et ses habitants. La sobriété a été le maître mot lors de la conception de cette nouvelle mouture : une mise en page épurée où les photos, moins nombreuses mais mieux traitées, sont au service du fond. L’information est structurée grâce à des en-têtes iconographiques et une colorimétrie retravaillée par rubrique. Les typographies respectent une hiérarchie précise, permettant une lecture et une compréhension plus fluides.

La métropole du Grand Nancy • Visit Nancy

Édité par la métropole du Grand Nancy et son opérateur Destination Nancy, Visit Nancy ambitionne de « dépoussiérer » le magazine touristique par une maquette et un ton renouvelés, en accord avec l’identité du territoire. Le nouveau magazine ne raconte pas uniquement une offre touristique mais aussi le territoire, son identité, sa population, ses valeurs. Pensé comme un magazine culturel, ou comme une revue muséale, il présente la métropole comme un lieu d’exposition et de partage. « Respirer pour mieux apprécier » : avec des blancs qui aèrent la maquette et laissent le regard se poser sur les images, des images en monochromie ou en bichromie, des blocs en dégradé et des photos, des doubles pages en monochrome.

La métropole de Lyon • MeT’

C’est le « renouveau démocratique » qui guide le projet éditorial de MeT'. Il s’articule autour du magazine papier et du site d’actualités met.grandlyon.com. Des passerelles sont créées avec le site institutionnel grandlyon.com et les réseaux sociaux. Le magazine se structure autour de quatre rubriques : « Je participe », « Voté au conseil », « Le sujet qui fâche » – qui traite en transparence d’un sujet épineux remonté des réseaux sociaux et de met.grandlyon.com – et « Près de chez vous ». Un effort est apporté à l’accessibilité pour « réaliser le premier magazine d’infos locales 100 % accessibles » : des choix sémantiques qui facilitent la lecture et la compréhension, des versions web & print travaillées avec des personnes en situation de handicap.

Quimperlé Communauté • Mag 16

Mag 16 répond à quatre objectifs éditoriaux : informer les habitants, créer du lien, expliquer les décisions des élus et stimuler la participation locale. Le magazine reflète ce territoire breton : l’agglorama séquencé et illustré, une pleine page en bilingue breton-français. Le magazine joue la complémentarité avec le web : les portraits « Face à face » sont accompagnés d’une vidéo publiée sur les réseaux sociaux. Tous les portraits sont accessibles en page d’accueil du site web. Un système de QR code renvoie sur les vidéos diffusées lors des conseils communautaires sur les réseaux sociaux. Les « Instantanés du territoire » reprennent les trois meilleures photographies publiées sur Instagram mentionnant #quimperlecommunaute. Le Mag 16 des 6-12 ans est une double page ludique de jeux, concours et infos courtes sur leur territoire.

La ville de Douarnenez • DZ Mag

Dans une démarche de clarification de la ligne éditoriale et dans l’intérêt du lecteur, DZ Mag se structure en trois cahiers : « Demain c’est maintenant » consacré au développement durable, « Ma ville et moi » autour de l’offre institutionnelle et « Douarnenez se raconte » dédié à la culture, au tourisme et aux acteurs du territoire. Le projet vise à susciter la curiosité et la fidélisation du lecteur : le nom DZ en pleine page, désignant le quartier maritime et le port d’attache de Douarnenez ; le parti pris graphique fort de la une ; le format réduit (19 x 26 cm) maniable et dans l’esprit collection ; l’interactivité en allant chercher des sujets sur les réseaux sociaux et en les développant dans le magazine (pour/contre) ; plus de sujets portant sur les jeunes ou s’adressant aux jeunes.

La ville de Velaux • Le Velauxien

« À l’heure où l'on alerte sur la fracture numérique, Le Velauxien vise à maintenir un lien fort avec les publics éloignés de l’accès au numérique et redonne du lien entre lecteur et collectivité. » Portraits, espaces d’expression laissés au tissu associatif et économique, sondages se succèdent ainsi. Et d’ici peu sera créée une rubrique en provençal. Passé de mensuel à bimestriel, il assume le traitement « froid » complémentaire des contenus quotidiens du site internet, des réseaux sociaux et des panneaux numériques.

La ville de Villeneuve-la-Garenne • Villeneuve Mag

Le nouveau magazine Villeneuve Mag, lancé en janvier 2023, a pour enjeu de donner une information claire, précise et attractive aux lecteurs. Les choix graphiques sont au service de ce projet : chromie discrète, titres et intertitres nombreux, exergues et infos pratiques, infographies réalisées en interne et exclusivement pour le magazine (parfois déclinées après en motion design pour le numérique), photos, choix typographiques forts pour certaines rubriques.

Le département de la Gironde • Gironde mag

La refonte de Gironde mag est l’occasion de créer une maquette plus « sexy », moins austère au service de la lecture. L’iconographie est au cœur du projet, elle diversifie les traitements et crée du relief : réalisation d’une bande dessinée dans chaque numéro, double page avec une grande photo pour revenir en chiffres et image sur un sujet, choix d’un illustrateur avec un style affirmé pour personnaliser la couverture et le sujet producteurs. L’idée est de donner à lire à tous les membres de la famille. « En image » permet de comprendre une info en quelques mots et quelques chiffres. « À table », la double page destinée aux producteurs, ouvre avec une photo dessinée.

Le département des Hauts-de-Seine • HDS mag

Repensé en 2022, HDS mag se veut le magazine de la collectivité et du territoire : il valorise autant l’institution que l’identité du territoire. L’image fait partie intégrante des reportages, elles ne se veulent ni « prétextes » ni décoratives. Le magazine est prolongé sur mobile par la web app hdsmag.hauts-de-seine.fr avec l’ajout de compléments vidéo et d’infographies en motion design. Un maximum d’espace est accordé à l’image : la maquette est structurée par la photo, les reportages sont choisis en amont en fonction de leur potentiel visuel. Certains sujets sont traités en portfolio. Les sujets plus compliqués à illustrer sont soutenus par des illustrateurs externes. Les sujets d’actualité et des principaux reportages sont accompagnés d’infographies.

Le Territoire de Belfort • Vivre le Territoire

La refonte de Vivre le Territoire s’inscrit dans le projet global de communication du département, anglé sur le « Territoire du Lion ». Le magazine est le premier média du Territoire de Belfort, il est lu et attendu par les habitants. La nouvelle formule présente plus largement des actions lancées par d’autres structures (associations, communes, particuliers, entreprises…), aborde des thématiques en lien avec les initiatives départementales (conseils sur l’alimentation, la prévention, tuto sur la préservation de l’environnement…), et ouvre ses pages aux initiatives originales qui participent à la valorisation du Territoire (portraits, reportages...). Un ensemble de codes graphiques rend l’identité visuelle unique, mémorisable et reconnaissable : typographie typée par l’usage de la version Inline de la police Neuwelt, usage d’un filet triple (le « trifilet ») qui vient souligner, animer et relancer l’attention. Un fil conducteur stratégique et graphiquement en cohérence avec les autres supports de communication de la collectivité : le magazine papier crée du flux numérique.

La ville de Tours • Tours magazine

En 2022, Tours magazine passe de bimestriel à mensuel et ambitionne de faire le lien avec les habitants à travers la valorisation des initiatives locales, de la vie des quartiers et des portraits de talents méconnus. Les portraits de femmes alternent avec les portraits d’hommes afin de respecter la parité, les photos d’habitants sont privilégiées plutôt que des photos de bâtiments ou de paysages « vides ».

La ville de Villeneuve-la-Garenne • Villeneuve Mag

L’image est au centre de la nouvelle formule éditoriale de Villeneuve Mag lancée en janvier. Tantôt explicative, tantôt immersive, l’iconographie vient prolonger le propos journalistique de l’ensemble des rubriques, du supplément et des politiques publiques locales. Sur le terrain, le journaliste travaille main dans la main avec le photographe pour échanger sur l’angle retenu, duquel découle la prise de vue. Les reportages sont donc toujours effectués à deux. Parfois, l’iconographie joue un rôle-clé pour mieux accéder aux lecteurs : pour la rubrique « En clair », qui explique de manière simple un dispositif, une action. L’iconographie permet également de toucher ceux qui lisent moins, voire pas, et ainsi de varier les modes d’expression pour mieux adresser un contenu.

Bordeaux Métropole • Tribu

Tribu a été initialement conçu en support mutualisé entre la ville de Bordeaux et son CCAS, et Bordeaux Métropole. Les élections locales de 2020 ont allégé l’ambition sans la remettre en cause, avec une dissociation de traitement de certaines thématiques et un rubricage évolutif. La nouvelle formule de Tribu se veut plus moderne, plus illustrée, plus vivante et garde à cœur la valorisation des agents dans leurs métiers, leurs collectifs et leurs actualités. Le journal s’intègre dans un dispositif éditorial global : des compléments d’articles en ligne simultanément à la parution du mag, une émission interne bimestrielle, en alternance avec la parution du mag, ainsi qu’un dispositif d’événements internes.

Le département de Maine-et-Loire • Nous le mag interne

Les maîtres mots de Nous le mag interne sont : collectif, partager, fédérer. Le projet éditorial, la maquette et la une portent ce projet. Avec l’idée de faire « plus moderne, plus humain, plus pédagogue » : formats d’articles variés, palette de couleurs riche et changeante, portraits et photos, infographies et articles traités en facilitation graphique.

La Police nationale • Police Magazine

Refondu au printemps 2022, Police Magazine s’adresse aux 149 000 agents de la Police nationale. Édité à 12 000 exemplaires, il fait l’objet d’une diffusion numérique complémentaire par newsletter spéciale et intranet. Il se veut magazine « familial » : réalisé en interne et au plus près du terrain, il s’appuie sur l’actualité et fédère tous les métiers autour des valeurs communes de protection de la population. Une affiche agrafée en page centrale est particulièrement attendue des lecteurs. Et comme la Police nationale est source d’inspiration pour la fiction, acteurs, réalisateurs, écrivains, animateurs sont interviewés pour illustrer le lien que la police entretient avec la société.

La ville de Saint-Étienne • tamtam

Le projet éditorial de tamtam traduit les trois axes stratégiques de qualité du service public, de marque employeur et de proximité. La refonte de la maquette a été nourrie d’ateliers d’agents (réseau de correspondants, direction de la communication) et a fait évoluer les rubriques du journal : un sommaire illustré, une pleine page événement, un reportage timeline au sein de services, un « regards croisés » d’agents ne travaillant pas dans le même service, etc. Le journal est accompagné d’un supplément « En pratique » dédié aux infos RH, agrafé au centre du magazine.

La ville de Colmar • Le Point colmarien

Dans Le Point colmarien, l’accent est mis sur l’humain, notamment à travers de nombreux portraits comme celui du danseur colmarien David Kichenaman, alias B-boy BR. Il est issu de la rubrique « Les Colmariens ont du talent » qui ancre le média comme le journal des habitants, et ravive le sentiment de fierté des Colmariens. Interview, exergue, insertions graphiques et bien sûr photo animent cette double page dynamique et attachante.

La ville de Malaunay • Le M

Le magazine Le M est construit autour du portrait : il raconte en premier le moment, qui donne le « la » au reste des contenus rédactionnels, qui ouvre une fenêtre sur une lecture possible de la ville à travers la personnalité locale présentée en couverture et en portrait à l’intérieur du magazine. Les contenus du magazine croisent ensuite ce premier point de vue pour constituer un tout. Le choix du portrait est arrêté au sein du comité de rédaction composé d’élus, agents, service communication et graphiste. En juin 2022, au cœur de plusieurs crises – Covid, aide à l’Ukraine, difficultés sociales, environnementales –, la parole est donnée à deux bénévoles de la Protection civile qui expriment leur engagement et des valeurs partagées de solidarité et sens du collectif.

La ville de Saint-Genis-Laval • Saint-Genis Info

Proximité et sentiment d’appartenance, c’est la ligne éditoriale affirmée dans Saint-Genis Info et au travers de la rubrique portrait. Le portrait retenu est celui d’un DJ de 60 ans, habitant de Saint-Genis-Laval, qui anime bénévolement les thés dansants. Il illustre une personnalité atypique, retraitée et connectée, qui vit avec son temps. La mise en page fait la part belle aux photos : sur la page de gauche, la moitié du visage de Maurice Sévenier avec les yeux fermés et un casque ; sur la page de droite, la seconde moitié de son visage avec les yeux ouverts et le casque. Sous-titres et citation rythment l’information.

La ville d’Aytré • Contacts

Le magazine Contacts est la première source d’informations municipales avec le site aytre.fr. Au-delà de son objectif d’information, il traite de la marque de territoire et du bien-vivre ensemble. Le rubricage, attractif et fixe, est complété de formats rédactionnels courts et variés.

La ville de Locoal-Mendon • Les Nouvelles de Locoal-Mendon

Recréer un lien de proximité avec la population après le bouleversement provoqué par la crise sanitaire ; fournir une information pédagogique et utile ; créer un écosystème informatif : voici formulés les objectifs éditoriaux des Nouvelles de Locoal-Mendon, trimestriel de 20 pages. Le choix est fait d’organiser les rubriques par type de contenus : « En images » pour les événements passés, les actualités en bref, en long, en chiffres, le dossier selon l’actualité nationale et la concrétisation d’actions sur le plan local, « À la découverte de… », « À la lecture de… » rédigé avec la médiathèque, l’agenda.

La ville d’Ornans • Ornans Vallées de vies

La maquette et la conception graphique d'Ornans vallées de vies sont le fruit d’un travail avec le graphiste de l’imprimerie du magazine, en optimisant les moyens et les formats des planches papier. Chaque rubrique est une déclinaison de la signature de la ville « vallées de vies » : vallées d’ambitions, vallées d’éveil, vallées d’effervescence et vallées d’échanges. Le magazine se place au cœur d’un dispositif d’information plus global. Des vidéos en lien avec la rubrique « Vallées d’éveil : grand angle » sont partagées sur les réseaux sociaux et permettent d’enrichir les traitements. Des QR codes renvoient vers des documents complémentaires à l’article.

La ville de Velaux • Le Velauxien

« À l’heure où l'on alerte sur la fracture numérique, Le Velauxien vise à maintenir un lien fort avec les publics éloignés de l’accès au numérique et redonne du lien entre lecteur et collectivité. » Portraits, espaces d’expression laissés au tissu associatif et économique, sondages se succèdent ainsi. Et d’ici peu sera créée une rubrique en provençal. Passé de mensuel à bimestriel, il assume le traitement « froid » complémentaire des contenus quotidiens du site internet, des réseaux sociaux et des panneaux numériques.

Camille Baudelaire préside le jury de la 25^e édition du Prix de la presse et de l’information territoriales.

Diplômée de l’école Estienne, de l’ESAA Duperré et de l’Ensad, Camille Baudelaire, fondatrice et directrice de création du studio Atelier Baudelaire, œuvre depuis plus de 10 ans à l’intersection du design graphique, de l’innovation, de la 3D et du design d’espace.

Elle accompagne les institutions, artistes et entreprises dans la création d’identités, d’éditions, de signalétiques, d’objets et d’espaces sur mesure dans un esprit collaboratif.

Elle s’ancre dans la tradition du graphisme d’auteur en quête d’excellence et d’engagement tout en proposant un modèle horizontal et novateur : elle valorise le travail des femmes designers, la création collective et le travail indépendant.

En tant que présidente du jury du 25^e Prix de la presse et de l'information territoriales, elle porte un regard créatif, graphique et éditorial exigeant sur les dossiers présentés.