Des étudiants de l’université de Créteil réalisent un travail d’étude pour le réseau Cap’Com
Lors de la soutenance de leur projet tutoré, les étudiants du master communication politique et publique de l’Upec – Université Paris-Est Créteil – ont présenté les résultats d’une enquête sur les relations entre les communicants des associations caritatives et ceux des collectivités territoriales.
Après un mois de travail, dix étudiants du master communication politique et publique de l’Upec ont soutenu, le 9 juin dernier, leur projet tutoré dont Cap’Com était le commanditaire.
Ce travail d’équipe est une expérience professionnalisante pour les étudiants mis dans la situation de répondre à une commande. L’étude visait à porter un regard sur le soutien que la communication des collectivités territoriales apporte à l’action locale des associations caritatives. Un travail d’enquête qualitative a été mené auprès d’associations caritatives pour analyser leurs relations avec les collectivités de leur territoire et les synergies en termes de communication.
En coopération avec Bernard Deljarrie, président de la coopérative Cap’Com, et Alexandre Borrell, tuteur pédagogique, Valentin Belin, Thelma Bergerot, Alex Brouard, David Buzonie, Jessica Claudin, Chanaёl Feldman, Lili Gosnet, Julie Kluge, Nicolas Platis et Matthieu Tullet ont rendu compte de la perception que les associations ont de la communication des collectivités, lorsqu’elle s’adresse aux publics en difficulté. Un travail universitaire riche d’enseignements tant pour les communicants associatifs que territoriaux, que Point commun présentera dans l’une de ses prochaines éditions.
Lors de cette soutenance, d’autres projets ont été présentés. La conception d’une communication pour la Maison commune de la santé 94 Ouest ; une stratégie de communication pour donner à la Fête de l’Humanité une dimension européenne ; des propositions pour la relance de la communication du festival d’été Antirouille de la ville de Créteil.
Source photo : Guill37, CC BY-SA 3.0, via Wikimedia Commons