L’objectif de la communication, de son processus, est limpide : influencer. Quoiqu’on en dise. Qu’il s’agisse d’influer sur des comportements, pour des raisons de santé publique et d’intérêt général, ou qu’il s’agisse d’influer sur les représentations de nos institutions - de leurs actions et de leurs dirigeants ou élus - mais aussi sur celles de nos territoires. L’enjeu est donc posé, même s’il n’est parfois qu’implicite : faire en sorte que nos cibles adoptent les bons comportements (mettre un casque en scooter ou un préservatif en fin de soirée, qu’ils trient leurs déchets, …), adhèrent aux images que nous proposons de l’action publique (positive, dynamique, généreuse, efficace, attentive, rigoureuse, innovante, …) ou de nos territoires (merci le marketing territorial) et, parfois, fassent le bon choix au moment de glisser un bulletin de vote dans une petite enveloppe.